La politique de la ville partie prenante dans la lutte contre la toxicomanie
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Publié le : Dernière Mise à jour : 07.09.2017Lecture : 2 min.
La délégation interministérielle à la ville (DIV) et la mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie (MILDT) précisent dans une circulaire conjointe les conditions dans lesquelles la politique de la ville doit contribuer à la mise en œuvre du plan triennal de lutte contre la drogue et à la prévention des dépendances adopté en 1999 (1). Elles définissent notamment les actions à conduire en priorité. Réduire les risques et les dommages sanitaires et sociaux Initiée par les pouvoirs publics il y a dix ans face à l'épidémie du sida, la politique dite de « réduction des risques » consistait alors à mettre à la disposition des usagers de drogues du matériel d'injection stérile. Elle regroupe aujourd'hui l'ensemble des informations, des aides et des prises en charge proposées aux consommateurs de drogues pour réduire les risques et les dommages sanitaires et sociaux. Compte tenu de l'évolution des modes de consommation des jeunes, le texte juge nécessaire d'intervenir, dans une optique de prévention, lors d'événements festifs (concerts, soirées « raves », etc.). Une circulaire interministérielle, en cours de préparation, devrait, sur ce point, permettre de fixer…
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