Publié le : Dernière Mise à jour : 03.08.2017Lecture : 2 min.
Avant l'examen, par l'Assemblée nationale, du projet de loi relatif aux institutions sociales et médico-sociales, les prises de position se multiplient. Ainsi, à côté des sept grandes fédérations du secteur (1), d'autres associations formulent des projets d'amendements.Revenant sur la question des lieux de vie, l'Association pour l'étude et la promotion des structures intermédiaires (Asepsi) (2) souhaite voir intégrer des modifications qui offriraient une « reconnaissance sans équivoque » à ces structures alternatives.Pour leur part, les organisations du Groupe « laïcité et intégration » (3) insistent sur le nécessaire développement du travail interministériel. Cela, parce que la prise en compte du handicap doit aussi se faire par l'intégration en milieu ordinaire (dans l'Education nationale par exemple), pas seulement dans les établissements ou services spécialisés de l'action sociale ou médico- sociale. Un souci que partagent d'ailleurs nombre d'acteurs du secteur eux-mêmes.Le Syndicat national des associations pour la sauvegarde de l'enfant à l'adulte (Snasea) (4) formule également de nombreuses propositions. Comme d'autres, il demande que la loi précise que le « conseil de la vie…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques