Vers une reprise des établissements de l´Yonne par la Fédération APAJH ?
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Publié le : Dernière Mise à jour : 01.08.2017Lecture : 1 min.
Affaire des « disparues de l'Yonne », suite. Outre les rebondissements judiciaires (Emile Louis est revenu, le 16 janvier, sur ses aveux des meurtres de sept jeunes filles handicapées mentales), les sanctions administratives se poursuivent à l'égard du comité départemental de l'Association pour adultes et jeunes handicapés (APAJH).Son président a ainsi reçu l'injonction du préfet, le 10 janvier, de suspendre Nicole Charrier. Actuellement directrice de l'un des foyers, elle était chef de service de l'institut médico-éducatif Grattery d'Auxerre durant les années 70, à l'époque où au moins quatre de ses pensionnaires avaient disparu.De plus, le conseil d'administration de la Fédération APAJH (1), réuni le 12 janvier, a confirmé les décisions prises la semaine passée par son président (2). Il a condamné « l'attitude passive et non responsable du comité APAJH de l'Yonne », et résolu de le radier « avec effet immédiat ». La fédération a également réitéré sa demande de prendre en charge directement les neuf établissements et services gérés par le comité départemental. « Nous étudions la proposition de la Fédération APAJH qui présente l'avantage d'être une solution relativement efficace »…
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