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Prime de Noël, agrément de la réforme de l'Unedic : l'amertume des chômeurs

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« Chef d'œuvre de cynisme », selon la CGT- chômeurs ; « méprisant et scandaleux », pour l'Association pour l'emploi, l'information et la solidarité des chômeurs et travailleurs précaires (APEIS)  ; « royale », ironise Agir ensemble contre le chômage  (AC !)  ; « Le gouvernement dit aux plus pauvres “Vous vivrez un peu mieux, mais seulement en décembre” », estime le Mouvement national des chômeurs et précaires  (MNCP)   (1). C'est ainsi que les associations de chômeurs réagissent à l'annonce, faite par le gouvernement le 7 décembre, d'une augmentation des minima sociaux de 2,2 % et d'une « prime de Noël » de 1 000 F minimum pour les plus démunis (2). « Les miettes [sont d'autant plus] dures à avaler  » pour les plus pauvres que le gouvernement procède à des baisses d'impôts et supprime la vignette automobile, rappellent les associations. Lesquelles revendiquent de longue date une revalorisation des minima sociaux (allocation d'insertion, allocation spécifique de solidarité, revenu minimum d'insertion) à hauteur du SMIC et une prime de 3 000 F pour tous les chômeurs et précaires.Elles condamnent en outre l'agrément officiel de la réforme de l'Unedic (3), qui prévoit une « amélioration…
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