Recevoir la newsletter

Les orientations de la PJJ contestées

Article réservé aux abonnés

Comment répondre à la croissance de la délinquance des mineurs ? C'est la question que se sont posée magistrats, éducateurs, enseignants et psychologues aux assises de la PJJ, du 20 au 22 novembre à Marseille. Mais aussi le Syndicat national des personnels de l'éducation surveillée  (SNPES-PJJ-FSU)   (1), qui a organisé, au même moment et dans la même ville, des « assises off ».Aux rencontres « officielles », la nouvelle garde des Sceaux a rappelé la volonté de la PJJ d'apporter une réponse avant tout éducative, en associant le plus possible les familles. Mais celle-ci doit être menée de front avec une politique de sanctions fournissant « une réponse rapide à l'égard de tout fait de délinquance commis par des mineurs », a insisté Marylise Lebranchu. Un discours qui se situe donc dans la continuité des orientations arrêtées par le gouvernement lors des conseils de sécurité intérieure des 8 juin 1998 et 27 janvier 1999.C'est bien ce que regrette le SNPES-PJJ-FSU. « Même si Marylise Lebranchu nous a paru plus ouverte que la précédente garde des Sceaux, nous ne nous faisons pas d'illusions. Le discours officiel affiche toujours une priorité à l'éducatif mais, en réalité, les dispositifs…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

LE SOCIAL EN ACTION

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur