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Les défenseurs de l'IVG soutiennent avec réserve la réforme de la loi Veil

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« La loi ne suffit pas : il faut que les pouvoirs publics veillent à son application et engagent les moyens nécessaires tant au niveau de la contraception que de l'avortement. » C'est sur ce thème que le Mouvement français pour le planning familial (MFPF), le Collectif national pour le droit des femmes, l'Association nationale des centres d'interruption de grossesse et de contraception (ANCIC) et la Coordination des associations pour le droit à l'avortement et à la contraception (CADAC)   (1) manifesteront devant l'Assemblée nationale le 29 novembre, alors que les députés entameront la discussion de la réforme de la loi Veil sur l'avortement (2). « La loi va dans le bon sens », selon ces associations. Mais elles réclament des garanties pour une bonne application, notamment « des moyens pour une information permanente sur la sexualité et la contraception » et la création de postes de médecins contractuels pour la pratique de l´interruption volontaire de grossesse  (IVG).Le MFPF rappelle (3) également qu'il souhaite que les délais pour avorter soient alignés sur ceux en vigueur aux Pays-Bas, en Grande-Bretagne ou en Espagne (22 semaines), et non pas seulement rallongés, pour passer…
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