Publié le : Dernière Mise à jour : 26.07.2017Lecture : 1 min.
Tout en « prenant acte » du relèvement du plafond de ressources mensuelles permettant d'accéder à la couverture maladie universelle (CMU) et de la prolongation, jusqu'au 30 juin 2001, des droits des anciens bénéficiaires de l'aide médicale départementale (1), l'Union nationale des centres communaux d'action sociale (Unccas) (2) ne baisse pas la garde. Elle demande qu'une « solution pérenne » soit mise en œuvre, d'ici à la fin de ce délai, « afin que les effets de seuil [...] soient effectivement pris en considération, pour éviter qu'il y ait rupture des droits ». Et regrette que la CMU ait « introduit une procédure trop administrative » et « rompu le lien de nombreux assurés avec les CCAS, lien indispensable pour les aider à accéder effectivement à leurs droits ». C'est pourquoi l'organisation réitère son exigence d'une véritable reconnaissance du « rôle précieux de conseil, d'information et d'orientation » que ces structures peuvent jouer au sein du dispositif. Reconnaissance qui devrait prendre la forme d'une « juste contrepartie financière » pour les CCAS, « chaque fois que la situation locale ou [les] difficultés de la population justifient de leur part, au-delà de ce…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques