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La croissance bénéficie inégalement aux titulaires du RMI

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Le ministère de l'Emploi et de la Solidarité avait annoncé, fin septembre (1), la première diminution du nombre de titulaires du revenu minimum d'insertion (RMI) depuis la création de la prestation. Ils étaient 990 000 à la fin du mois d'août 2000. Une étude de la Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (DREES) vient préciser les modalités de cette baisse (2). Ainsi, au premier semestre 2000, le nombre d'allocataires a régressé de 1,4 % en métropole, après quatre années marquées par un ralentissement progressif des hausses (+ 7,5 % en 1996, + 2,5 %en 1999). Cette évolution reflète, selon les auteurs, « l'amélioration de la conjoncture économique et, plus particulièrement, la baisse du chômage non indemnisé » (3).Les effets de la croissance sur l'évolution du RMI ont, cependant, été contrebalancés, dans un premier temps, par des réformes de 1998 et 1999. Ainsi, l'exclusion de certaines ressources de la base de calcul de la prestation, comme l'allocation pour jeune enfant ou la majoration pour âge des allocations familiales, a permis à davantage de ménages d'accéder au RMI. Le développement de l'intéressement, facilitant le cumul avec un revenu d'activité…
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