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Les baisses d'impôts ignorent les plus pauvres, regrettent les associations

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L'annonce, par le ministre de l'Economie et des Finances (1), des 120 milliards d'allégements fiscaux a reçu un accueil au mieux réservé, au pire glacial, de la part des associations. Les minima sociaux « oubliés de la croissance » Les critiques les plus sévères émanent des organisations de chômeurs, qui regrettent que ni les minima sociaux ni le SMIC n'aient été réévalués. « Les pauvres sont une fois de plus exclus de la redistribution des richesses. Il est indécent que cette baisse d'impôts touche aussi les plus fortunés alors que trop de personnes et de familles dans notre pays ont un revenu en dessous du seuil de pauvreté  », s'insurge le Mouvement national des chômeurs et précaire (MNCP) (2), qui demande un relèvement immédiat de 1 500 F des minima sociaux. Ces derniers sont en effet « les oubliés de la croissance », affirme l'Association pour l'emploi, l'information et la solidarité des chômeurs et travailleurs précaires (APEIS) (3). Celle-ci estime que les excédents budgétaires auraient pu être utilisés à « donner plus aux gens qui vivent dans de grandes difficultés, parfois depuis longtemps ». Et reproche au gouvernement son « approche électoraliste  ». « Les fruits de…
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