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Les femmes précaires peu autonomes dans leur vie sexuelle

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Déficit de contraception et de protection face au sida, désir et plaisir considérés comme illégitimes, rapports parfois violents, tabou entretenu dans la famille, mauvais dialogue avec les gynécologues : tels sont les grands traits de la sexualité des femmes précaires sur lesquelles Janine Mossuz-Lavau, directrice de recherches au Centre d'études de la vie politique française (Cevipof), a enquêté durant l'année 1999 (1). La religion, facteur déterminant L'initiative est née à l'issue d'un colloque, tenu en novembre 1997, sur « Femmes et infection VIH en Europe »  : les experts y constataient une augmentation alarmante des cas de sida parmi les femmes. La division sida de la direction générale de la santé a donc demandé au Mouvement français pour le planning familial d'organiser des groupes de paroles de femmes en difficulté de prévention contre les risques sexuels, dans toute la France (2). C'est ce programme qu'a analysé Janine Mossuz-Lavau. Elle a assisté à ces groupes de paroles, dont le but est de livrer des informations (en sept séances de trois heures, sont abordés le corps, la contraception, la prévention contre les MST, la nécessité de consulter un gynécologue, etc.) et d'amener…
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