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Le CERC-Association prône une revalorisation des minima sociaux 

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Le RMI et les autres prestations de solidarité découragent-ils leurs titulaires de chercher un emploi, créant ainsi une « trappe à pauvreté »  ? Non, répond Connaissance de l'emploi, des revenus et des coûts-Association (CERC- Association), dans sa dernière étude sur les minima sociaux (1). Constatant une stagnation, voire une réduction, du pouvoir d'achat de ces allocations depuis les années 80, les auteurs plaident, à l'instar du Conseil économique et social (2) et du rapport Belorgey- Fouquet (3), pour leur réévaluation. Mais à la différence de ces derniers et de l'opinion dominante, ils estiment que celle-ci serait un moyen de limiter le développement de l'emploi précaire.En 1998, le nombre d'allocataires de ces prestations s'élevait à 3,4 millions, progressant de 28 % depuis 1983 (4). Dans le même temps, les dépenses de protection sociale ont globalement stagné et « les barèmes des minima sociaux ont, au mieux, suivi l'évolution des prix », souligne l'étude. « Ainsi, la quasi- stagnation du pouvoir d'achat de [ces allocations] tranche nettement avec la progression du niveau de vie moyen des ménages » (20 % entre 1982 et 2000). « En conséquence, la norme moyenne de revenu garanti…
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