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Loi contre les exclusions : la mise en œuvre ne suit pas, selon la Coorace

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« La loi a donné de nouveaux droits aux associations intermédiaires pour qu'elles remplissent plus efficacement la mission pour laquelle elles sont conventionnées, mais la réglementation les empêche de les exercer ! » Tel est le constat dressé par Jacqueline Saint-Yves, présidente de la Fédération des comités et organismes d'aide aux chômeurs par l'emploi (Fédération Coorace) (1), à l'occasion de son bilan de la loi de lutte contre les exclusions en matière d'insertion par l'activité économique, présenté le 8 juin.La fédération, qui regroupe 450 structures -principalement des associations intermédiaires (AI) et des entreprises de travail temporaire d'insertion (ETTI)  -reconnaît en effet les « conséquences positives de la loi ». Parmi lesquelles la « clarification du positionnement des associations intermédiaires sur le marché », du fait de la suppression de l'obligation de non-concurrence leur interdisant d'intervenir dans le cadre d'activités déjà assurées par l'initiative privée ou publique (2). Ou encore la formalisation des relations de la Coorace avec l'ANPE, grâce à la signature d'un accord national (3). L'octroi de l'agrément ANPE parfois aléatoire Pourtant, « insuffisances,…
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