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Nouvelle réaction au colloque sur la prostitution

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A l'instar d'autres responsables associatifs (1), Martine Costes, responsable pédagogique de l'organisme de formation Metanoya Marginalités et travail social (2) et, par ailleurs, vice-présidente de la Fédération abolitionniste, n'a pas souhaité s'associer au colloque sur la prostitution organisé le 16 mai par la Fondation Scelles.Elle refuse en effet de considérer les personnes prostituées comme « humiliées au fond de l'abîme » ainsi que le laissait entendre l'intitulé de la manifestation. En outre, elle fait état de ses inquiétudes sur « l'enlisement » de la question « dans le perpétuel débat abolition/prohibition/réglementation alors que le bilan sanitaire, social et humain est catastrophique en Europe et dans le monde, quelle que soit la politique appliquée ».Selon cette responsable, dénoncer la prostitution risque d'être utilisé pour justifier des mesures répressives à l'égard des personnes prostituées toxicomanes et des étrangères sans papiers. Et celle-ci de déplorer une nouvelle fois « l'abandon » de ces publics « au bon vouloir des clients et des proxénètes. Il n'y a pas dix services sociaux spécialisés en France alors que les décrets de 1960 en prévoient 98  !  ». Enfin,…
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