Publié le : Dernière Mise à jour : 03.08.2017Lecture : 2 min.
Le Comité national de coordination et d'évaluation des groupements d'employeurs pour l'insertion et la qualification (CNCE-GEIQ) (1) rendait public hier son bilan pour 1999. L'occasion de faire le point, avec Jean Dalichoux, son secrétaire général, sur ces structures qui permettent à des personnes sans qualification d'alterner séquences de travail au sein d'entreprises diverses et périodes de formation.
Quel poids représentent les groupements d'employeurs pour l'insertion et la qualification (GEIQ) aujourd'hui ? - Leur nombre a connu ces dernières années une croissance constante, qui ne faiblit pas. Nous sommes passés d'une poignée en 1995 à 82 aujourd'hui (2), et de nombreux projets sont en cours. En outre, les branches professionnelles s'intéressant au dispositif se diversifient. La propreté industrielle, les transports, l'hôtellerie, la restauration, etc., rejoignent le secteur du bâtiment et des travaux publics, cependant toujours prédominant, avec 43 % du total. En 1999, au total, 2 251 embauches ont été réalisées, en contrats de qualification, initiative-emploi ou d'orientation essentiellement.…
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