Publié le : Dernière Mise à jour : 26.07.2017Lecture : 2 min.
« Déception totale. » Lâché, le 2 mai, par Jean- Marie Durand, responsable national de la coordination nationale avenant 265 (1), à l'issue de son entrevue au ministère de l'Emploi et de la Solidarité, avec Bernard Garro, sous-directeur à la direction de l'action sociale (DAS), et Emmanuelle Mengual, directrice adjointe du cabinet de Dominique Gillot (2), le mot est faible pour exprimer la colère de la délégation devant l'incapacité de l'autorité de tutelle à défendre ses revendications auprès de Bercy. Et surtout le sentiment de « tourner en rond » face à des interlocuteurs qui cherchent à gagner du temps. « Le discours est en tout point identique à celui que nous avait tenu, en janvier, Pierre Gauthier selon lequel le chiffrage du coût de l'avenant serait trop incertain », s'irrite Jean- Marie Durand (3). Le ton serait même, d'après lui, plutôt au durcissement puisque l'hypothèse d'une possible renégociation de l'avenant cadres aurait été évoquée. Ce qui serait un retour à la case départ. D'autant que cet accord a lui-même été conclu après que l'avenant 260 du 6 mai 1997 (qui visait aussi le reclassement des cadres) a été également refusé à l'agrément ministériel. « Dans ces…
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