Publié le : Dernière Mise à jour : 26.07.2017Lecture : 2 min.
La Fédération des établissements hospitaliers et d'assistance privés à but non lucratif (FEHAP) affiche sa satisfaction. « L'objectif est que nos adhérents qui n'ont pas signé d'accord dans le cadre de la loi Aubry I puissent bénéficier des 4 000 F d'aide prévus par la seconde loi et des allégements de charges sociales, afin de pouvoir financer le maximum d'embauches », indique-t-on à la fédération. Il faudra cependant pour cela que l'agrément ministériel de cet avenant « n'emprunte pas les chemins tortueux du précédent » (1). L'accord n'entraînant aucune dépense supplémentaire pour les financeurs, la FEHAP espère en fait un aval gouvernemental très rapide, de façon que le dossier 35 heures soit bouclé à la fin de l'année.Satisfaction également de la CFDT santé-sociaux, l'un des deux syndicats de salariés signataires avec la CFTC santé-sociaux. « Les salariés des établissements qui n'ont pas signé dans le cadre de la loi Aubry I sont pénalisés : ils ont subi le gel salarial sans passage aux 35 heures et sans créations d'emplois ! », indique la CFDT, pour qui cet avenant permet que « tout le monde puisse avoir un retour sur investissement ». Quant aux critiques éventuelles sur l'absence…
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