Publié le : Dernière Mise à jour : 05.08.2017Lecture : 1 min.
Si elle se réjouit que le gouvernement se soit enfin engagé à réformer la loi sociale de 1975 avant juin 2000 (1), l'Uniopss n'en oublie pas pour autant ses exigences sur le fond (2). Oui à l'actualisation, mais « sous conditions », développe-t-elle dans un long communiqué daté du 9 mars. La nouvelle loi « ne saurait se réduire à une simple loi d'organisation ou de maîtrise des dépenses d'action sociale », défend-elle avec force, exprimant la déception des associations de voir « passer des modifications partielles (tarification forfaitaire, enveloppes fermées...) avant la réforme globale ».Pour l´Uniopss, « trois préoccupations prioritaires s'imposent » dans ce travail législatif. Il s'agit tout d'abord « d'enrichir le périmètre de la loi et lui garder une dynamique sociale ». Face aux arbitrages financiers, le dispositif doit « reconnaître, valoriser, porter des réponses adaptées, au plus près des besoins, dans une relation de proximité et de partenariat ». Deuxième axe selon l'Uniopss, il doit « objectiver les besoins et les attentes pour mieux connaître les réalités respectives des demandes et des coûts ». Ce qui signifie « rendre transparents » les conditions d'agrément, les…
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