Publié le : Dernière Mise à jour : 02.09.2017Lecture : 2 min.
Nouveau visuel, nouveau slogan : « Allô Enfance maltraitée... parce que des solutions existent ». Le 7 mars, le 119 donnera le coup d'envoi de sa campagne d'affichage en partenariat avec les transports publics. L'occasion de faire le point sur les dix ans d'activité du service national d'accueil téléphonique avec Annie Gaudière, sa directrice.
Quel bilan dressez-vous ? - Je crois qu'au bout de dix ans, le service national d'accueil téléphonique pour l'enfance maltraitée (1) est devenu un centre ressources pour l'évaluation du phénomène de la maltraitance et de l'efficacité des politiques publiques en ce domaine. Il a réussi à dépasser les difficultés nées du partenariat entre l'Etat et les conseils généraux à propos de la protection de l'enfance. Je pense qu'aujourd'hui il remplit bien sa mission et que sa place est parfaitement identifiée parmi les autres intervenants. C'est ainsi qu'au fil du temps, nous avons progressé en moyens et en efficacité : le budget de 12 millions de francs en 1990 atteint aujourd'hui 17,4 millions ; l'effectif s'est accru, de 39 personnes à l'origine à 60 à ce jour. Ce qui nous a permis d'améliorer le traitement…
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