Publié le : Dernière Mise à jour : 03.08.2017Lecture : 1 min.
Dans une lettre adressée, le 22 février, à Martine Aubry, l'Union nationale interfédérale des œuvres et organismes privés sanitaires et sociaux (Uniopss) (1) a fait connaître, par la voix de son président, Jean-Michel Bloch-Lainé, ses préoccupations sur « l'absence de guide clair pour la mise en œuvre des 35 heures dans les associations sanitaires et sociales ». Elle demande à la ministre les moyens financiers nécessaires au respect de la loi : « Les “enveloppes fermées”, notamment, ne doivent pas empêcher l'application des 35 heures. » Elle souhaite également la création d'un lieu de concertation et de réflexion sur l'entrée en vigueur de la RTT dans le secteur, avec l'ensemble des parties concernées, ainsi que l'octroi à l'administration des moyens nécessaires pour répondre aux demandes d'agrément. « Les hésitations, les confusions, les situations de non-droit actuelles aboutissent à troubler sérieusement le climat social dans les établissements et services, à hypothéquer les budgets et le fonctionnement pour les cinq années à venir et, souvent, à détériorer la qualité des prestations rendues aux usagers », regrette l'Uniopss. Qui, dans une note jointe à cette lettre, précise…
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