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Enquête « violence »  du CSTS : les institutions sur la sellette

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 A travers leurs réponses au questionnaire « violence » du groupe de travail du CSTS, les professionnels témoignent de l'insécurité croissante en travail social. Et pointent leur solitude et les dysfonctionnements institutionnels.
C'est un rapport d'étape pour le moins dérangeant que doit présenter, le 15 février, devant le Conseil supérieur du travail social (CSTS) - qui, pour la première fois, devrait se réunir sous la présidence de Martine Aubry - le groupe de travail sur « la violence ». Livrant notamment les résultats du questionnaire « violence », diffusé par les ASH (1), il dresse - selon les premiers éléments en notre possession - un état des lieux sévère du secteur. Qu'elles soient subies par les usagers ou les travailleurs sociaux, les violences et l'insécurité seraient en partie induites par le fonctionnement des institutions et les pratiques professionnelles. Manque de projet de service, absence de dialogue, de soutien de la hiérarchie, inadaptation des missions... Le travailleur social serait renvoyé en permanence à sa solitude, elle-même génératrice d'insécurité et donc de violence vis-à-vis…
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