Publié le : Dernière Mise à jour : 17.09.2017Lecture : 1 min.
Alors que les cadres étaient dans la rue, le 27 janvier, et que l'UFAS-CGT appelait à la grève le lendemain pour dénoncer les incohérences dans l'agrément des accords locaux relatifs à la réduction du temps de travail (RTT) (1), le Syndicat national des associations pour la sauvegarde de l'enfant à l'adulte (SNASEA) (2) continue de son côté de mobiliser les employeurs inquiets de la « détérioration du climat social ». A la suite de la réunion organisée le 12 janvier, avec 300 présidents et vice-présidents d'associations (3), il a fait parvenir, pour signature, un manifeste à ses adhérents, qu'il remettra au ministère de l'Emploi et de la Solidarité.Evoquant les dossiers relatifs à la RTT, la revalorisation de l'encadrement, la réforme de la loi 1975, les élus des associations rappellent leur attachement à la loi du 1er juillet 1901 et refusent d'être « considérés en permanence comme des administrations déléguées placées sous tutelle ». « En contraignant les associations dans des logiques d'organisation propres à l'administration, l'Etat finit par altérer tout processus d'adaptation permettant l'éclosion de modèles d'organisation, négociés avec les partenaires sociaux, qui soient…
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