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Dialogue social : Jacques Chirac ouvert à une révision constitutionnelle

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« Dans plusieurs Etats d'Europe, la pratique contractuelle donne lieu à un véritable pacte social[…]. Il n'y a pas de raison que la France n'y parvienne pas à son tour.  » En s'exprimant ainsi devant les « forces vives » (syndicats, associations…), le 6 janvier, à l'occasion de la traditionnelle cérémonie des vœux, le président de la République a encouragé la démarche du MEDEF. L'organisation patronale, qui doit décider, le 18 janvier, si elle quitte les organismes paritaires de protection sociale, a proposé aux organisations syndicales, en novembre dernier, d'ouvrir des discussions sur un nouveau «  contrat social » (1). « La place et l'autonomie de la démocratie sociale doivent être reconnues et respectées. La loi […] ne peut pas tout faire  », a déclaré Jacques Chirac, appelant à «  une démocratie nourrie par la négociation sociale et respectueuse de celle-ci  ». Et «  si une large entente s'exprime » à l'issue des discussions menées par les organisations syndicales et professionnelles, le chef de l'Etat s'est dit alors prêt à envisager une révision de la Constitution, afin «  de donner au dialogue social un meilleur ancrage ». Notes(1)  Voir ASH n° 2140 du 5-11-99.
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