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L'INSEE analyse les conditions de logement des titulaires du RMI

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« Les conditions de logement reflètent bien le degré d'insertion ou de précarisation des allocataires du revenu minimum d'insertion [RMI] . » Tel est le constat de l'étude que vient de publier l'INSEE (1). Ainsi, les 15 % de titulaires vivant dans les logements les plus précaires (foyers d'hébergement, chambres d'hôtel, squats, sous-locations...) sont le plus souvent des hommes âgés, sans diplôme, exclus de l'emploi. Et très seuls. « L'exiguïté et la grande précarité de leur logement limitent [...] leur possibilité de nouer ou de conserver des liens sociaux », notent les auteurs. Plus d'un tiers de ces allocataires déclarent n'avoir aucune relation amicale depuis plus d'un an et plus de quatre sur dix n'ont plus de famille ou de liens avec elle. Environ 60 % des titulaires du RMI vivent dans un logement autonome  : 25 % sont locataires en HLM (2), 25 % le sont dans le secteur libre et 8 % sont propriétaires ou accédant à la propriété. Mais ils rencontrent fréquemment des difficultés à en assumer la charge financière, malgré les aides institutionnelles (allocation de logement ou aide personnalisée au logement), qu'ils perçoivent pour 90 % d'entre eux. Au cours de l'année précédant…
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