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Suicides en prison : l'OIP rappelle le droit des familles à l'information

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Après avoir tiré la sonnette d'alarme sur l'augmentation des suicides en milieu carcéral (1), la section française de l'Observatoire international des prisons (OIP)   (2) a demandé, le 27 novembre, lors de la « journée nationale prison »   (3), davantage de transparence et d'informations pour les familles des détenus qui se sont donné la mort.Alors qu'en principe, des règles précises déterminent les modalités de l'information des proches après un suicide (renseignements clairs, complets et immédiats par le chef d'établissement, d'abord par téléphone, puis par écrit), en pratique « nombre de familles doivent attendre plusieurs mois avant d'obtenir des explications sur les circonstances du décès », déplore l'OIP. Parfois même, « il arrive qu'elles ne soient informées du suicide que plusieurs jours après l'événement, en se rendant au parloir pour une visite ».Or, le silence, ou le refus de donner des explications complémentaires, nourrit « la suspicion » de la famille. Effectivement, dans certains cas, l'attitude de l'administration pénitentiaire sert à dissimuler « imprudences, inattentions, négligences ou inobservation des règlements ». Le manque de personnel, entre autres, engendre…
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