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Le cri d'alarme de la psychiatrie publique

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« Face à la dégradation constante de la situation dans les services de psychiatrie publique », l'Intersyndicale de défense de la psychiatrie d'exercice publique (IDEP), fondée le 15 octobre dernier par deux syndicats de praticiens (SPEP et SPS) (1), a lancé, le 17 novembre, « un cri d'alarme ». Estimant avoir affaire à « une politique faite de retours en arrière et de réductions autoritaires de moyens », l'IDEP déplore une dégradation des soins. Celle-ci vient s'ajouter à la crise actuelle vécue par la profession  : statut peu attractif, crise démographique. Selon, l'intersyndicale, « seuls 5 % à 15 % des secteurs ont une palette à peu près cohérente de structures adéquates à une psychiatrie moderne de qualité ». Or, leurs missions se sont alourdies en raison de la fermeture de lits d'hôpitaux et de « la paupérisation croissante de larges fractions de notre société ». Les médecins réclament donc les moyens de préserver « une psychiatrie publique de qualité ». Notes(1)  A côté du Comité d'action des syndicats de psychiatres, qui rassemble quatre organisations de praticiens privés et publics, l'IDEP regroupe uniquement des professionnels du public via le syndicat des psychiatres d'exercice…
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