Recevoir la newsletter

Accouchement sous X : Dominique Gillot défend le droit aux origines

Article réservé aux abonnés

A l'occasion d'une soirée de sensibilisation sur les droits de l'Enfant, organisée le 8 novembre, par le comité français de l'Unicef, la Ligue des droits de l'Homme et le quotidien Le Monde, Dominique Gillot s'est prononcée en faveur d'une évolution des textes « au profit des enfants tout en préservant les droits de la mère  ».Concernant l'accouchement sous X, « permettre la levée possible de l'anonymat, au moment où le jeune adulte a besoin de connaître ses origines, ne signifie pas empêcher l'adoption », a précisé la secrétaire d'Etat à la santé et à l'action sociale. « Certains enfants nés sans filiation revendiquent, au nom de la vérité biologique et de leur propre équilibre, le droit à la connaissance de leurs origines. Là aussi le droit positif doit progresser », a-t-elle conclu, prenant appui sur les « propositions intéressantes » du rapport Dekeuwer-Defossez (1). Pour mémoire, celles-ci devront être étudiées dans le cadre de la réforme du droit de la famille.Notes(1)  Voir ASH n° 2133 du 17-09-99.
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

LE SOCIAL EN TEXTES

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur