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Un engagement sous contrôle

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Le militantisme et le professionnalisme du travailleur social sont-ils incompatibles ? A la fois acteur et critique de l'institution, ce dernier n'est-il pas pourtant, nécessairement, militant ? Un débat symptomatique des relations complexes qu'entretiennent les intervenants du secteur avec l'engagement.
Peu de place pour les nuances, les demi-mesures. Il fallait se jeter à l'eau, répondre par « oui » ou « non ». A la question « Les travailleurs sociaux doivent-ils être des militants ? », thème du colloque organisé à Toulouse (1), les réponses ont donc été passionnées et, quel que soit le choix des orateurs, militantes à leur façon. Quel sens, cependant, donner au mot « militant »  ?De fait, tout le monde n'a pas répondu à la même question. Les tenants du « non », en règle générale, se sont opposés à toute régression qui contreviendrait à la professionnalisation du secteur. Laquelle, a rappelé le sociologue Michel Chauvière, a été obtenue « en rupture avec tous les militantismes :philanthropique, religieux, ouvrier... ». Tandis que les partisans du « oui » ont soutenu le nécessaire engagement des travailleurs sociaux au côté des personnes…
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