Recevoir la newsletter

L'IGAS remet en cause la vocation sociale des centres de santé

Article réservé aux abonnés

Réclamé de longue date par le Comité national de liaison des centres de santé (1), le rapport de l'Inspection générale des affaires sociales (IGAS) sur ces structures, héritières des dispensaires, a finalement été remis avant l'été à la ministre de l'Emploi et de la Solidarité, Martine Aubry (2). Alors que les gestionnaires des centres de santé réclamaient un nouveau cadre réglementaire et financier tenant compte de la spécificité de leurs missions, l'IGAS dresse un bilan plutôt critique, accueilli d'ores et déjà avec réserve (3). Faisant état, tout d'abord, de la diversité de ces structures qui, gérées par des municipalités, des mutuelles ou des associations, diffèrent tant dans leurs ambitions que dans leurs pratiques. Un pilier de l'offre locale de soins Certes, reconnaît la mission, leur utilité est incontestable, notamment lorsque les centres sont installés dans des localités et des quartiers peu équipés en services de santé libéraux. Bien insérés dans leur environnement, ils représentent « un pilier important de l'offre locale de soins qu'il ne faudrait pas ébranler ». Pas question donc de remettre en cause leur existence. Néanmoins, l'IGAS ne se montre guère convaincue que…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

LE SOCIAL EN ACTION

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur