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Divergences autour de l'action sociale auprès des squatters

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Quel accompagnement social mettre en œuvre dans les squats ? En mai dernier, un rapport, remis à la direction de l'action sociale, tentait d'apporter quelques repères aux professionnels souvent démunis sur le terrain (1). Si elle se félicite que le ministère se penche sur cette réalité complexe, la Fédération des associations pour la promotion et l'insertion par le logement  (FAPIL)   (2) fait état, néanmoins de profondes divergences sur « certaines options concernant les fondements et les modalités de l'action sociale auprès des squats ».Les squatters ne sont pas toujours des personnes en danger, affirme-t-elle, indiquant qu'il ne s'agit pas a priori de les protéger d'eux-mêmes ou de leurs congénères, mais plutôt de faciliter leur accès effectif aux droits. En outre, si ces endroits sont souvent des lieux de misère, ils sont aussi des espaces de regroupement, d'opportunités et d'identité, défend la fédération. Quant au « risque » de se rendre dans les squats évoqué par le rapport, il paraît, au vu de l'expérience, « assez mince », ajoute-t-elle, jugeant abusive l'assimilation « classes squatteuses, classes dangereuses ».Surtout, soutiennent les responsables de l'organisation, l'objectif…
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