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Quelle protection pour les salariés qui ont signalé des sévices ou maltraitances ?

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Que peuvent faire des travailleurs sociaux ayant connaissance, dans le cadre de leurs fonctions, de faits justifiant selon eux un signalement à la justice sans que leur hiérarchie ne réagisse ? Telle était la question soulevée par la psychologue, l'éducatrice spé-cialisée et la monitrice-éducatrice licenciées, le 17 octobre 1997, pour abandon de poste par leur employeur, la communauté Guy-Debeyre à Perrancey (Haute-Marne)   (1). A la suite de cette affaire, et constatant que de nombreux travailleurs sociaux se trouvent dans la même situation, les salariées concernées soutenues par l'union départementale CGT (2) avaient interpellé la Fédération santé et action sociale CGT et l'ANCE sur l'absence de protection des professionnels lorsqu'ils saisissent leur hiérarchie de cas de maltraitances et que celle-ci ne prévient pas les autorités compétentes.C'est dans ce cadre-là que Pierre Verdier, directeur de la Vie au grand air, a rédigé une avant-proposition de loi. Constatant que « certains salariés se sont retrouvés en difficulté, voire même licenciés, pour avoir signalé directement au président du conseil géné- ral, au préfet ou au procureur de la République (comme pourtant la loi le leur…
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