Publié le : Dernière Mise à jour : 02.08.2017Lecture : 2 min.
Démarré le 5 mai à Clermont-Ferrand, le congrès de l'Association nationale des cadres communaux d'action sociale (Anccas) (1) a choisi, cette année, de réfléchir sur la nécessité de mieux prendre en compte le point de vue des usagers. Interview de Rina Dupriet, présidente de l'association.
Le colloque s'intitule « L'usager au cœur de notre action ». Pourquoi avoir retenu ce thème ? - Plutôt que de revenir sur des projets de décrets ou de lois comme nous l'avons fait les années précédentes (la PSD en 1997, la loi de lutte contre les exclusions en 1998), nous avons souhaité, cette fois, approfondir la réflexion sur les dispositifs que nous mettons en œuvre. De quelle marge de manœuvre disposons-nous face à ces différentes mesures ?Devons-nous les subir ? Répondent-elles vraiment aux besoins de l'usager ? Pour cela nous avons essayé de dégager trois idées : l'usager écouté, l'usager actif, l'usager reconnu et nous nous sommes tournés vers trois villes, une petite (Saint-Lô), une moyenne (Angers) et une grande (Bordeaux) qui ont, chacune à sa façon, tenté de décliner ces concepts. C'est un sujet difficile…
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