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Une désapprobation générale

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C'est une réforme très attendue, réclamée par tous. Et qui, pourtant, à l'arrivée ne satisfait personne. Principaux reproches : la complexité du projet et surtout l'absence de moyens financiers supplémentaires.
Remise en chantier en mai 1998 par la ministre de l'Emploi et de la Solidarité, Martine Aubry, la réforme de la tarification des établissements hébergeant des personnes âgées, réclamée depuis longtemps, a d'abord démarré sous l'angle de la concertation. Mais, dès juillet, dans une lettre ouverte adressée à la ministre, sept organisations du secteur social et médico-social (dont la Fédération hospitalière de France (FHF), l'Union nationale des centres communaux d'action sociale (UNCCASF), l'Uniopss, la FEHAP...) critiquaient, entre autres, la « complexité inexplicable » du projet ainsi que l'introduction de « discriminations » au niveau territorial et dans l'accès aux soins des personnes âgées... (1). Absence de volonté politique Depuis, alors que le ministère a présenté, début août, les grandes lignes de cette réforme (2) qui devrait concerner 9 000 établissements (60 % relevant du secteur public, 40 % du privé), la désapprobation…
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