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114 propositions pour améliorer l'aide aux victimes

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« La victime n'est pas une catégorie juridique mais un être humain. Aider la victime ne peut se résumer au traitement judiciaire », affirme Marie-Noëlle Lienemann, présidente du groupe de travail interministériel sur l'aide aux victimes et maire (PS) d'Athis-Mons (Essonne). Dans le rapport qu'elle a remis le 26 mars à Lionel Jospin (1), elle souligne la nécessité d'une politique publique garantissant « une prise en charge globale des droits fondamentaux des personnes ayant subi les conséquences d'une infraction pénale ». Et formule à cette fin 114 propositions qui devraient être examinées, le 19 avril, lors du prochain Conseil de sécurité intérieure. Des victimes insuffisamment aidées Tout d'abord le rapport pointe les failles du dispositif actuel. Notamment l'insuffisance des enquêtes et des statistiques pour connaître le nombre de personnes concernées. Il relève néanmoins « la croissance de la victimation » puisqu'en 1997, les services de police et de gendarmerie comptabilisaient 3 493 442 infractions (contre 3 170 970 en 1987). Alors que « seulement » 75 000 victimes sont chaque année suivies par les associations d'aide aux victimes. De plus des groupes de populations marginalisées…
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