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Des thérapeutes présentes aux auditions policières

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Si l'on croit désormais plus volontiers la parole des enfants, celle-ci reste néanmoins difficile à décoder. A Besançon la police coopère avec des professionnelles de l'enfance.
« Policier, je te dis merci. » C'est avec une fierté teintée d'émotion, que le commandant Gérard Erny sort de son tiroir le dessin dédicacé de Sophie. « On a en quelque sorte un contrat moral avec l'enfant abusé dont on a un jour croisé le regard », explique l'inspecteur divisionnaire, responsable de l'unité de prévention et de protection sociale (UPPS) de Besançon. Un contrat qui, pour le policier, se traduit par une « obligation de réussite »  : réussir à cerner la vérité, c'est-à-dire, pour commencer, réussir à entendre la parole de l'enfant. Or ni les policiers, ni les gendarmes (intervenant pour les faits ayant eu lieu en dehors de la ville et de sa proche périphérie), ne sont spécialement formés à décrypter le langage de la souffrance enfantine. D'où l'intérêt de s'adjoindre la collaboration de spécialistes expérimentés.Fort de cette conviction, partagée avec le procureur de la République, le commandant Erny a croisé sur son chemin Dominique Frémy, pédopsychiatre,…
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