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Prison et rétention : le CNS souhaite un meilleur suivi des traitements médicaux

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Il est souvent difficile de suivre un traitement médical (notamment quand il s'agit d'antirétroviraux ou de produits de substitution), lorsqu'on se trouve en garde à vue, en prison ou dans un centre de rétention administrative. C'est le constat inquiétant que dresse le Conseil national du sida (CNS) dans un rapport intitulé Les traitements à l'épreuve de l'interpellation , rendu public le 26 janvier (1). Un document qui résulte d'une enquête menée auprès de médecins, d'avocats, de fonctionnaires et de responsables associatifs et syndicaux, et dans certains lieux de détention ou de rétention. Le problème du suivi des traitements se pose particulièrement en garde à vue, souligne le CNS, qui dénonce « l'absence de dispositif réglementaire concernant l'achat et la distribution des médicaments » dans les locaux de la police ou de la gendarmerie. Ce qui entraîne « une période de vulnérabilité quant au suivi des traitements » chez les personnes vivant avec le VIH ou participant à un programme de substitution. Aussi le conseil recommande-t-il l'harmonisation des conditions de garde à vue ainsi que la signature de conventions entre les lieux de garde et des établissements hospitaliers proches.…
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