Recevoir la newsletter

... et leur extension aux détenus

Article réservé aux abonnés

« Aujourd'hui, faute de revenus, 60 % des détenus vivent en France en dessous du seuil de pauvreté carcéral », rappellent les organisations AC!, Act Up Paris, Aides, le Génépi, le Groupe multiprofessionnel des prisons et l'Observatoire international des prisons (1) qui réclament que les personnes incarcérées puissent bénéficier des minima sociaux disponibles à l'extérieur. Dans une plate-forme commune, rendue publique le 10 novembre, celles-ci s'alarment de «  l a précarité propre » aux prisons. « R isque sanitaire » parce qu'elle empêche les détenus de se soigner et aggrave les effets des pathologies lourdes comme le sida ou l'hépatite C, elle est aussi facteur d'insécurité et de violences, soulignent les organisations. En outre, cette situation est synonyme de « d ésinsertion sociale », de « cherté de la vie carcérale » et elle entraîne des inégalités judiciaires, l'absence de revenus rendant plus difficile l'aménagement des peines pour lesquelles on exige des garanties d'emploi et de logement et un effort d'indemnisation des victimes. Aussi les organisations demandent-elles que toute personne incarcérée ait droit, soit au maintien ou à l'ouverture de ses droits sociaux, soit…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

LE SOCIAL EN ACTION

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur