Actualités sociales hebdomadaires : Votre ouvrage s'inspire du rapport que vous avait commandé, en mai 1995, Simone Veil, à l'époque ministre des Affaires sociales, de la Santé et de la Ville. Comment expliquer que celui-ci ait été enterré ?
Patrick Risselin : En fait, en 1995, Simone Veil envisageait une grande commission des Sages pour réfléchir aux suites éventuelles à donner à la loi du 30 juin 1975 d'orientation en faveur des personnes handicapées. Mais, avec la perspective des élections présidentielles, la ministre a demandé, de façon plus modeste, un rapport de bilan et de prospective sur la loi à la direction de l'action sociale. Remis à son successeur après le changement de gouvernement, mon travail n'a alors…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?