« Il ne s'agit en rien de placer de quelconques prédélinquants à la campagne, mais d'offrir à de bons élèves dont les conditions de vie sont médiocres pour bien travailler, la possibilité de mieux vivre et donc de mieux réussir », a déclaré la ministre déléguée à l'enseignement scolaire, en évoquant, le 20 août, le lancement d'un dispositif d'accueil en internat, dans des collèges ruraux, d'enfants des banlieues en difficultés sociales. Dès la rentrée scolaire, une quarantaine de jeunes de la région parisienne (ils seraient en fait 56) devraient ainsi intégrer, sur la base du volontariat, plusieurs établissements scolaires dont le ministère se refuse à indiquer…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?