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Les psychiatres refusent « l'abandon thérapeutique »

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Le 1er juillet, les psychiatres privés et publics de l'Association médicale de défense de la déontologie et des droits des malades (1) ont dénoncé la dégradation des soins psychiatriques en France   (2). Un dispositif que « les mesures prises par tous les gouvernements successifs ont déjà sérieusement laminé », expliquent-ils, citant les termes de la lettre ouverte adressée en mai dernier à Martine Aubry et qui a recueilli 70 signatures. « L'accès aux traitements psychothérapeutiques est de plus en plus difficile, voire interdit à des populations de plus en plus nombreuses [...]. Plus grave encore, les malades psychiatriques sont à la rue, au sens propre du terme et cela uniquement parce que les moyens, qui existent et qui pourraient les soigner, ne sont pas dégagés, faute de places et de postes », s'insurgent-ils, indiquant que la moitié des 500 000 patients psychotiques français n'est pas suivie par un psychiatre. «  Dans certains départements, il est quasiment impossible, dès le jeudi, de trouver en urgence un lit d'hospitalisation psychiatrique. Conséquence de cette pénurie : des patients hospitalisés subissent des changements de lit, de service ou même d'hôpital : on les appelle…
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