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Faut-il toujours un avocat pour l'enfant ?

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Depuis une dizaine d'années, les avocats s'investissent fortement dans la défense des mineurs. Mais si des progrès ont été réalisés, ils se heurtent encore au flou des procédures et à certaines réticences. Ainsi qu'au manque de moyens de la justice.
« L'enfant a-t-il accès au droit ? » En posant cette question, lors du colloque organisé, le 14 mai, à l'Assemblée nationale, sur le thème « Mineur délinquant, mineur victime », Gérard Christol, président de la Conférence des bâtonniers (1), entendait, aussi, défendre la place de l'avocat dans la justice des mineurs. Car à l'heure où le gouvernement se prépare à mettre en œuvre les nouvelles orientations qu'il vient d'arrêter concernant les jeunes délinquants (2), les avocats n'entendent pas rester sur la touche. « Ni juge ni éducateur, l'avocat, par son indépendance à l'égard des institutions, des familles, lié par le secret professionnel et formé à ces questions, est un interlocuteur essentiel pour le mineur en souffrance ou en difficulté », rappelait ainsi le président de la Conférence des bâtonniers. De fait, depuis une dizaine d'années, plusieurs barreaux ont développé, en direction…
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