Publié le : Dernière Mise à jour : 31.08.2017Lecture : 1 min.
A l'occasion de son congrès annuel qui s'est tenu le mois dernier, le Groupement national des ateliers protégés - Union des entreprises de travail adapté (GAP-Uneta) (1) a adopté une motion réaffirmant notamment que l'atelier protégé est « un lieu d'insertion qui permet à des personnes productives mais non compétitives d'accéder à une pleine citoyenneté par la pratique d'un travail salarié adapté ». Son président, Jean-Louis Coulon, préférant d'ailleurs le terme « d'entreprise de travail adapté ». Lors de ces journées, le groupement a rappelé que les ateliers protégés n'accepteront pas de voir leur rôle « réduit à celui de couloir ou d'antichambre du milieu ordinaire », dans un contexte où « la commande de l'Etat se fait de plus en plus pressante » pour que les salariés handicapés puissent quitter rapidement le secteur protégé. Si cette commande lui semble légitime, le GAP-Uneta a insisté sur la nécessité pour ces structures d'assumer également leurs missions de préparation à l'insertion, de préformation et d'entraînement à l'effort. Et déplo- rant la disparition de certaines subventions, il a réclamé davantage de moyens. « Comment ne pas s'insurger en constatant qu'une entreprise…
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