Publié le : Dernière Mise à jour : 04.08.2017Lecture : 7 min.
Nées en réaction aux établissements classiques de long séjour, les petites unités de vie sont sorties de leur statut expérimental. L'avenir leur appartient à condition de ne pas trahir le projet d'origine.
Les « petites unités de vie » sont nées il y a plus de 15 ans. Elles s'appellent domiciles collectifs à Grenoble, Cantou à Rueil-Malmaison, MARPA (maisons d'accueil rural pour personnes âgées) ailleurs, ou encore appartements communautaires, domiciles personnels... Sous la diversité des noms, une seule philosophie : offrir une solution alternative aux maisons de retraite et aux services de long séjour à des personnes âgées ne pouvant plus rester chez elles rompre avec l'anonymat des grandes institutions, en ouvrant des structures n'accueillant pas plus de 20 résidents environ et fonder un projet d'établissement qui privilégie la vie et l'autonomie - quand elle est possible - et non une logique exclusivement tournée vers les soins. Des principes sur lesquels le Centre de liaison, d'étude, d'information et de recherche sur les problèmes des personnes âgées (Cleirppa) insiste dans son étude consacrée aux petites unités de vie (1) :…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques