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Le débat se poursuit autour de la PSD

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Le 26 novembre dernier, lors de l'installation du comité national de la coordination gérontologique (1), Martine Aubry avait donné trois mois aux conseils généraux pour « que les situations difficilement justifiables soient corrigées » concernant la mise en œuvre de la prestation spécifique dépendance  (PSD). Laquelle était critiquée de tous côtés en raison de l'inégalité de traitement qu'elle engendre entre départements (2). Or, « depuis lors, seuls trois conseils généraux ont de nouveau délibéré et sur une augmentation dérisoire : 10 F par jour. Par contre, un quatrième a fait baisser la prestation de 60 F par jour », proteste Pascal Champvert, président de l'Association des directeurs d'établissements d'hébergement pour personnes âgées  (Adehpa)   (3), dans une lettre adressée, le 24 février, à Martine Aubry. « La stratégie de la majorité des départements est ainsi claire :faire des économies au détriment des personnes âgées », poursuit-il, souhaitant que l'Etat prenne position sur ce dossier. Car, affirme-t-il, les conseils généraux « n'ont tenu aucun de leurs maigres engagements et mettent en cause la crédibilité de l'Etat ». Ce qu'il estime d'autant plus « anormal » que « l'Etat…
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