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« Faut-il avoir peur de l'humanitaire ? »  : un bénévole répond

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« La structure actuelle de la société est telle que les travailleurs sociaux et les bénévoles humanitaires sont ensemble confrontés à l'exclusion », estime Jean-François Vignial, bénévole à Périgueux au sein de l'association Saint-Vincent-de-Paul (1). Il réagit ainsi, dans une lettre adressée aux ASH, à notre article : « Faut-il avoir peur de l'humanitaire ? » (voir ASH nº 2059 du 20-02-98). « Quel est en effet le but commun du social et de l'humanitaire ? C'est d'aider les personnes que nous aidons à se mettre ou se remettre debout », poursuit-il, précisant que « les moyens dont disposent les uns et les autres sont différents » . « Les travailleurs sociaux peuvent définir clairement les prestations auxquelles les personnes ont droit et savent mettre en œuvre les procédures qui leur permettent de les obtenir. Les “humanitaires” rencontrent souvent des exclus sans prestations qui n'ont pas su ou voulu s'adresser aux services compétents. C'est à l'humanitaire d'orienter vers le social et d'assurer le suivi de cette orientation », affirme, en particulier, Jean-François Vignial. Sachant, conclut-il, que « la complémentarité ne peut être efficace que si le travailleur social et le bénévole…
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