Emplois-jeunes : le GNI invite à construire « un réel projet de qualification »

A la suite de la parution de la circulaire sur les emplois-jeunes dans le secteur sanitaire et social (1), le Groupement national des instituts régionaux du travail social  (GNI)   (2) indique sa volonté de se mobiliser pour «  la réussite du dispositif ». Néanmoins, s'inquiétant des risques de confusion liés à l'utilisation de certaines dénominations, reprenant des titres ou grades professionnels déjà en usage (assistant animateur, aide-éducateur...), il insiste sur la nécessité d' «  une plus grande précision terminologique », lors de la constitution des référentiels-métiers. Concrètement, le GNI invite à réfléchir à «  un réel projet de qualification » des jeunes concernés. C'est ainsi qu'il retient «  a priori  » deux modes d'entrée en formation : par les filières existantes ou par la création de cycles nouveaux. Dans le premier cas, il suggère d'envisager un système d'unités capitalisables en cours d'emploi au long et/ou au-delà des cinq années du contrat. Construit comme un dispositif global de suivi, celui-ci comprendrait des préformations éventuelles, des passerelles, des validations des acquis et un tutorat. Quant à la conception de nouveaux modules de formation par les instituts…