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Inquiétudes associatives sur l'adoption à l'étranger

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Avec la ratification par la France de la convention de la Haye sur l'adoption internationale (1), les candidats à l'adoption d'un enfant à l'étranger devront obligatoirement passer par la Mission de l'adoption internationale  (MAI) ou par un organisme agréé (une œuvre d'adoption). Une disposition dont le but est de limiter les trafics et les enlèvements d'enfants et qui met fin, de fait, à l'adoption par démarche individuelle. Or, c'est bien ce qui inquiétait le collectif des associations de familles adoptives  (2) pour qui cela revenait « à confier exclusivement à des organismes privés toute démarche d'adoption à l'étranger ». A l'heure actuelle, précisaient-elles, sur 3 500 enfants adoptés chaque année hors de France, les trois quarts le sont par démarche individuelle. Pour elles, passer par ces organismes doit être « une possibilité » mais pas une « obligation » dans la mesure où ceux-ci « ne possèdent pas la logistique nécessaire » pour traiter autant de demandes et « pratiquent une sélection des candidats en fonction de critères qui leur sont propres ». La revendication des associations : la mise en place d'un véritable service public de l'adoption internationale, « seul…
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