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Handicap mental et sida : le jugement sévère du CNS

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Dans un rapport, rendu public le 13 février sur Les oubliés de la prévention. Handicaps mentaux, sexualité et VIH, le Conseil national du sida  (CNS)   (1) rappelle «  qu' aucun dépistage systématique et autoritaire du VIH  » ne doit être pratiqué chez les résidents d'établissements spécialisés accueillant des handicapés mentaux. Et, en cas de test prescrit par un médecin, il réaffirme la nécessité du respect des règles de confidentialité, les résultats ne devant être communiqués «  qu'à l'intéressé, son tuteur éventuel ainsi qu'aux personnes qu'ils estiment nécessaire d'informer ».Au-delà de ces recommandations, le CNS revient sur la question de la sexualité des handicapés mentaux et des risques de transmission du VIH. Soulignant que ces publics ont été les oubliés des politiques de prévention jusqu'à la circulaire du 10 décembre 1996 (2), le rapport met en évidence «  l'impossible discours sur le sida » au sein des services et établissements spécialisés en raison du tabou autour de la sexualité. Pour le conseil, le poids des représentations mais aussi «  l'organisation quotidienne » constitueraient d'importants obstacles à la prévention. Le constat est particulièrement sévère : le…
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