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Les partenaires sociaux se penchent sur l'AFR, les CES et les emplois-jeunes

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Les partenaires sociaux qui gèrent l'Unedic se sont rencontrés, le 6 janvier 1997, pour négocier sur trois thèmes : l'allocation de formation-reclassement  (AFR), les conditions d'affiliation au régime d'assurance chômage des contrats emploi-solidarité  (CES) et des contrats emplois-jeunes.   AFR. Seules les discussions sur l'AFR ont partiellement abouti. Rappelons qu'en octobre 1997, l'Unedic avait décidé que l'allocation plancher, d'un montant de 3 168,20 F par mois, pouvait être versée aux attributaires qui exerçaient auparavant une activité à temps partiel, même lorsque cette somme dépassait les 75 % du salaire de référence (1). Le patronat a accepté la prorogation, pour un an, de la garantie d'une AFR minimale, pour les travailleurs à temps partiel   (2).   CES. Les bénéficiaires des CES sont assurés pour le risque de chômage moyennant une cotisation de leurs employeurs, acquittée par l'Etat, plus élevée que celle versée par les entreprises privées pour leurs salariés. Une surcotisation qui n'empêche pas le dispositif d'être déficitaire. Aussi, appelant l'Etat à renforcer son engagement financier, les partenaires sociaux ont-ils décidé d'adresser une lettre commune à Martine Aubry…
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