Publié le : Dernière Mise à jour : 28.07.2017Lecture : 1 min.
Quelques heures après avoir occupé la pyramide du Louvre, environ 150 représentants d'associations de chômeurs, de collectifs et de syndicats (1), ont lancé, le 20 décembre, un manifeste contre le chômage, la misère et la précarité. Cette initiative constituait le point d'orgue d'une semaine de mobilisation qui a donné lieu à divers rassemblements, organisés un peu partout en France. Baptisé « Appel du Louvre », ce manifeste n'a cependant pas été définitivement adopté, certaines organisations ayant émis des réserves. Reste que toutes se retrouvent autour des principales revendications formulées dans ce texte :une « vraie loi-cadre » pour la réduction du temps de travail à 35 heures tout de suite, orientée « clairement vers les 32 heures, pour le public comme pour le privé », des mesures faisant reculer les heures supplémentaires mais aussi la précarité et le temps partiel contraint, et une « refonte totale de la fiscalité en faveur des mesures d'urgences sociales et à l'encontre des détenteurs de patrimoine ». En outre, associations et syndicats demandent à nouveau au gouvernement d'organiser une conférence « pour la lutte contre le chômage, la précarité et les exclusions » (2)…
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