Recevoir la newsletter

Le devoir de parole

Article réservé aux abonnés

Après d'autres professionnels (1), c'est Annie Mousson, assistante de service social dans le Sud-Ouest (2), qui réagit à l'article - « La charrette de Vitrolles »   (3)  - dans lequel nous évoquions le « silence assourdissant des travailleurs sociaux » . L'occasion, pour elle, de lancer un véritable appel à témoignages.
« Depuis le temps que je maugrée seule dans mon coin, je me décide à vous écrire à propos de ce fameux “silence assourdissant des travailleurs sociaux” auquel vous faites, vous aussi, référence. Je n'aurai pas la prétention d'expliquer un phénomène qui, de mon point de vue, prend des proportions inquiétantes mais [...] certaines hypothèses me sont venues à l'esprit : la politique, impossible dans les années 80 de critiquer le pouvoir en place sous peine de se faire accuser de se tromper d'ennemi, de faire le jeu de l'extrême droite  les intérêts personnels de nos dirigeants empêchaient toute interpellation à un plus haut niveau - l'attrait du pouvoir et l'ambition politique existent aussi…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Courrier

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur